Le trio avance dans les limbes grises du purgatoires, s'enfoncant dans une foule d'humains en toges, visiblement en train d'attendre. Un peu désoeuvré, le groupe demande des informations aux gens au hasard, mais ces derniers sont un peu apathiques, et apparemment, au vue de leur réponse, aucun n'est morts dans les dernieres années. En suivant un démon qu'ils appercoivent portant des toges, le groupe finit tout de même par tomber sur des préfabriqués entourés d'une foule d'humains nus, plus vifs, et visiblement morts plus récemment. La recherche est d'abord laborieuse (et coute à tristan ses vetements), mais félix finit par subtiliser à une employée angélique un grimoire, donnant le nom des derniers arrivés (la plupars étant barrés en noirs), et leur numéro de dispatch. Ils finissent par trouver celui de nathalie, barrée en rouge (chose rare), ainsi que la poissonière, jocelyne Rochot. Ils décident donc de se diriger, derrière les préfabriqués, vers la section “dispatch”, qui semble en grève partielle. Une ame présente ici leur parle d'un bar aux alentours, l'entremonde, Ils s'y rendent, prennent un coup et commencent à discuter avec le barman, se faitsant passer pour des oncles de nathalie. Le barman semble compréhensif, et les informe que le regroupement familial fait justement partie des revendications des grévistes (avec les fameuses “37,5”). Les grévistes viennent justement, et pendant qu'ils distribuent leurs tracts, l'équipe les alpagues en les félicitant pour la question du regroupement familial, ils continuent leur histoire de nièce, ce à quoi les gréviste leur dit que le rouge signifie que le cas était traité par le service contentieux, et qu'ils se rappellent de nathalie, qui avait visiblement causé un certain désordre. Ils vont donc du coté du service contentieux, parviennent à traverser la ligne de CRS pour discuter avec une chef gréviste, adamante sur le fait de ne pas casser la grève, qui leur conseille d'aller discuter avec henry si ils veulent une exception. Le groupe se rend donc au centre de dispatch 17782, pour aller discuter avec henri. Mais henri, qui est visiblement un simple humain, leur dit qu'il ne fera pas de passe droit, à pars éventuellement si ils parviennent à amener yves à la table des négociations. à cours de moyens, ils reviennent voir le barman de l'entremonde qui, amusé par leur aller et retour et pas dupe vis à vis de leur histoire, leur demande la vérité. Les démons finissent pas tout cracher, la dispute entre crocel et bélial, l'ame dans le corps de nathalie, tout. Il les informe que Yves a peu de chance de venir, mais que henri était influencé par un certain jacques, qu'on pourra trouver à la machine de théologie. La machine en question est maniée par une ange et un démon, jacque, avec qui les démons s'isolent. Après un peu de discusisone t de démenti de sa part, il comprend qu'ils ont été envoyés par Beleth, et dévoile qu'il est bien celui qui a crée la grève, mandaté par beleth pour permettre le passage des démons. Il propose de déplacer le piquets de grève pour leur permettre de faire traiter le dossier. Une fois le piquet déplacé, un employé leur donne rapidement le numéro de la salle d'attente où se trouve nathalie. Ils vont la voir, et elle leur raconte comment elle s'est retrouvée possédée par la présence d'une autre femme, son histoire avec un ange dont elle est tombée amoureux, et de son frère, puis de leur dispute, et de son invocation par le premier pour en faire “sa reine”.

Belkis (?) a parlé avec André, le pharmacien

Il y avait un trône vide. Une meute de loups qui se battent pour s'en emparer. Le sang qui coule. Un rire d’enfant. Et un homme très seul qui ne veut plus du trône. Qui ne veut plus rien. Qui ne veut plus être. Et j'ai vu ce qui se passerait s'il disparaissait. J'ai vu le monde s'arrêter et exploser et se figer ct mourir et tourbillonner et hurler, Si le trône est vide alors, c’est la fin du monde…