Yolande était passé au Sierra Léone il y a plus de 6 mois.

Deux jours plus tard, M. fabien nous contacte pour nous demander de venir au plus vite, avec arme et bagages. On s’exécute, et on apprend qu'on est envoyé en mission au sierra leone, à Freetown, afin d’enquêter sur les retraits d'argents d'andréalphus. Aurélie nous emmène à l’aéroport à 5H du matin, et 8 heures plus tard, nous arrivons (le conteneur contenant nos affaires sensibles arrivera plus tard). L'équipe se dirige vers l'hotel panafrica, seul hotel semblant respectable, en plus d'être dans le même quartier que deux des banques dans lesquelles yolande avait retiré de l'argent. Après avoir pris deux chambres, l'équipe décide de tenter le plan suivant :

1. Luc se polymorphe en yolande, et se rend, accompagné par felix, dans le bar restaurant de l'hotel, afin de voir si quelqu'un la reconnait. Tristan se tient dans le bar pour écouter ce que disent les gens. Plan qui ne donna rien.

Yolande et «son mari» sont resté 4 jours à Freetown et ont passé beaucoup de temps au bar, Youssouf apparemment les connaît bien. Après discussion avec lui, ils sont seulement resté pour poser des questions et demander du matériel pour aller vers l'est. Il nous donne le nom du “mari” de yolande, un certain martin bouchère. Il nous offre aussi, contre un autre pourboire, de nous mettre en contact avec un de ses “amis”, qui leur avait fournit le matériel. On récupère un fusil de précision (un Dragounov avec un sac de rangement), deux chargeurs, 500 balles et une grenade.

Félix rencontre une personne avec un laissez passer : Ignace BLANCHOUX, un gars qui paraine un enfant vers KENEMA via médecin sans frontière. Il demande à félix si il peut l'accompagner, pour sa sécurité, et est même ravis que tristan et luc viennent aussi, pour la sécurité. Le type est visiblement très (trop) sympathique, et parle même la langue locale. Le voyage se passe sans encombre, le laisser passer de ignace et quelques pots de vins suffisant à passer, du moins jusqu'à la frontière de la zone controlée par le RFU, où un barrage de l'armée et de casque bleu refusent catégoriquement qu'on traverser pour aller dans les montagnes.