In Nomine Satanis - Magna Veritas

Règles de la troisième édition d'In Nomine Satanis/Magna Veritas

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fi:notes:20200909

Partie du 9 septembre 2020

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Félix lance une idée un peu folle : faire semblant de faire un reportage sur la «tragédie d'Ignace» en faisant pression sur les casques bleus pour nous faire passer. On décide de mettre Ignace dans le coup pour qu'il y ait le plus de pathos, Luc trafique la radio de la Jeep pour faire croire à un téléphone satellite. Le lendemain matin le spectacle commence. On ne fait pas beaucoup rire les soldats sierra leonais qui nous confisque nos téléphones et nous intime d'aller dans un bâtiment. Pendant l'intimidation/interrogatoire des cris et des tambours se font entendre dehors.

Le major nous escorte jusqu'à la sortie du barrage alors que les tambours se revelent être un groupe de gens visiblement ivres qui s'approchent et veulent passer. Ignace insiste pour profiter de la distraction pour se tirer et chercher un sentier bis. Une fois éloigné et sur un petit sentier, les sirènes du barrage nous indique que la foule tient effectivement les militaires occupés pendant notres passage jusqu'au territoire du RUF. Une fois à kenema, ignace s'en va vers la mission chretienne locale pour chercher son petit mangoulé.

En questionnant Célestin (parce que la banque où Yolande a retiré n'était qu'un DAB) on sait que Yolande et Martin se dirigeaient vers Sefadu. Avant notre rendez-vous avec Ignace, il est décidé de faire des affaires et avec un Félix particulièrement inspiré, les diamants sont vraiment pas cher en vu de les vendre au pays.

En fait Ignace est un reporteur de guerre (sauf qu'il avait encore menti), il nous l'avoue lors de la soirée. On creuse pour voir s'il a d'autres secrets mais soit on brise pas le vernis soit il est transparent. On lui demande la voiture, il accepte et nous donne rendez-vous à Kenamé 6 jours plus tard, il nous file son numéro de téléphone.

Sur la route de Sefadu trois gros hélicoptères nous passe au-dessus et se dirigent pas très loin du lieu où l'on va. On est arrêté dans un bled par des ado en plein milieu de route. On passe entre les mains de l’aînée du village qui nous raconte qu'il y a 6 mois un massacre a eu lieu dans un fort transformé en hôpital par une ONG. Depuis une légende est né à grand coup de fantôme tueur vu que personne ne reviens.

Divers pièges nous attendent, ainsi qu'une grenade, suivi d'une autre. Félix lance un pari stupide «pas cap de baisser les armes et de te montrer devant nous», mais on ne voit rien. Une fois atteint le plateau on trouve Ignace qui lutte contre la «créature». Une fois la surprise passée, on arrive à la maîtriser grâce à un jet de glace bien placé, Ignace s'est jeté sur lui (Martin du coup), lance une aura de pacification (contraignant Luc à pas lui couper la tête) tout en invoquant l'archange Ange. On découvre que Martin est en fait la démone de mère d'Ange, Drina. Ange nous donne la raison du massacre : ils auraient des témoins de la conception du bébé d'Andréalphus, et aussi que le père est Baal. TADAAAM.

On passe la nuit à parler avec Ange, qui nous raconte son histoire. On s'enfuit à bord de l'hélico d'Ignace direction le Liberia voisin pour aller à l'ambassade de France, pour un rapatriement d'urgence.

Récompense : une complète + faveur de M. FABIEN.

L'histoire : Dans les années 90 [un ange inconnu] a couché avec Drina (alors sous forme de femme) et a engendré Ange. Des siècles plus tard, Andréalphus/Yolande couche avec Baal (sous la forme de [inconnu]) et tombe également enceinte. Andréalphus/Yolande s'est rendu au Sierra-Leone avec Drina/Martin pour effacer toutes les traces de la relations, parce que Yolande travaillait alors dans un hôpital là-bas et ses collègues humain étaient au courant de l'identité du papa. À un moment, André/Yolande se dit qu'elle va se débarrasser aussi de Drina/Martin et couche avec ielle, mais Drina/Martin se méfie et au moment de l'orgasme fait “pop avec la bouche” et se tépé en sécurité.

fi/notes/20200909.txt · Dernière modification: 2020/09/17 12:44 de altay