Tristan s'enfonce dans l'hotel particulier au son des fourchettes à l'étage. Il rencontre toute la famille et se présente comme agent de protection de l'enfance et lui lance un baratin sur la souplesse dont il peut faire preuve s'il fait amende honorable. Ne tendant pas la perche tendue le père réfute toute accusation avec véhémence. Tristan lui fait un laïus sur le pardon qui a peut être fait son effet car un léger changement s'est fait sentir avant que Tristan se fasse congédier.

Une fois le trio rassemblé un petit plan à base de coupure de courant et de grands discours sur les bienfaits de rendre madame contente en lui apportant à manger du traiteur. Ça ralle que ça coute cher et Luc pousse le destin en laissant un gros billet pour payer son demi. Après quelques tergiversations les habitués acceptent de se laisser conduire chez le boucher pour prendre le repas pour le soir avec madame.

De son coté Tristan trouve le petit Martinez qui l'envoie un peu bouler. Il garde ses distance et tarde pas à voir les jumeaux venir emmerder le gosse. Tristan arrive par derrière et tire les oreilles des deux identiques. Rebelote sur le couplet sur le pardon à Martinez qui ne fait que moyennement mouche. Pareil il ne touche pas ou peu la paire.

Félix va à l'hotel particulier parler à la famille sous l'apparence de père Philippe, le religion du coin. Il ne reste que le père de famille, les enfants étant déjà parti au cirque avec la gouvernante. Tristan de son coté essaye de convaincre le vrai père Philippe de venir au cirque pour peser dans la balance du pardon. Ce dernier . Luc va discuter avec les enfants sur le chemin du cirque. Il se métamorphose en le clown Kobal et fait un numéro aux enfants en faisant exprès de faire une bêtise qui lui introduit pour son discours sur le pardon qui a l'air de fonctionner puisque les plus âgés lui cite les évangiles sur le pardon.

Le trio va à l'imprimerie (père Philippe a indiqué à Tristan qu'un massacre aurait lieu tous les soirs) où les rotatives tournent plein pot imprimant un article de loi sur la non assistance au personne en danger. Luc pète l'armoire de commande pour les arrêter définitivement, et déclenche le même phénomène sur les fax et les écrans du coté du vigile.. Ça réveille le gardien que Tristan endors direct. Peu de temps après les jumeaux nazis arrivent avec un black qu'ils bousculent plus qu'un peu. Félix et Luc interviennent pour arrêter la scène et Luc essaye de raisonner le duo. Néanmoins, le guardien finit par se réveiller et résiste au sommeil, et menace tristan, qui essaye de le persuader qu'il n'est qu'un simple passant ayant entendu le bruit. Il se rend dans l'imprimerie, et tandis qu'il demande des explications, les machines se relancent toutes seules. Luc tente de les arreter à main nue tandis que tout le monde fuit. dehors, alors que les gens commencent à affluer dans les rues dans le cirque, luc et félix essayent de rassurer le vigile en lui conseillant d'aller à l'église.

Le soir, la représentation à lieu presque comme d'habitude. Cependant, le public réagit différement, moins hilare, plus conscient, et surtout, à la fin, plus de gens levent la main pour le pardon : martinez, tout les gens du bar, et leur femmes, les enfants demonsac, ainsi que le père philippe, et d'autres, pris par la vague populaire. le mr loyal demande un compte, par certains membres du cirque. 54 voix contre 50 pour le pardon. Le mr loyal demande alors à gabriel et luc de “accorder le pardon” en tuant le pantin. Luc proteste, mais gabriel saisit l'épée, et décapite le pantin, pour la plus grande joie du public. La danseuse accouche, l'elvis arrache ses vetemetns en riant, crocell et belial se battent, et l'ouvreur fait tomber la sécurité en lui lancant un dinosaure en peluche dans les jambes. puis, le chapiteau s'embrase, luc essaye de récuperer le pantin (sans trouver sa tête), pendant que tristan et félix tentent d'aider les gens à évacuer. Pendant que le chapiteau s'enflamme, un bruit sourd se fait entendre, et on a l'impression que l'enceinte de brique se rapproche, pendant que les étoiles tombent. tristan et félix fuient, mais luc, resté auprès du chapiteau, entends la voix d'andréalphus dire “baal, je t'en supplie, ne le fait pas”, puis, un flash rouge. ils reviennent dans la ruelle, les tags rougent disent maintenant “fluctuat nec mergitur, et merci”. à la place du mur qu'ils ont escaladé, se trouve un hotel miteux, dont le receptionniste ressemble au boucher de la ruelle. Luc lui demande si il a vu son patron, donnant la description de satan, et le réceptionniste de lui répondre “ah, il était dans la chambre 666, mais il vient de partir”. Luc demande à voir la chambre, et y trouve simplement une boule à neige, resssemblant à la rue, ainsi qu'un mot “Merci pour le coup de main, ne cherchez pas à me trouver ou je vous tue, j'ai démissioné, S”. C'est à ce moment là qu'ils recoivent une communication mentale, d'une andréalphus, paniquée, qui leur dit qu'elle a besoin d'aide, “Qu'ills” l'ont retrouvé, avec l'image mentale d'une ville nommé montgrumeau.